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Mind and body: Impact of the pandemic on physical and mental health

Canada | 2021

This report focuses on Canadians’ perceptions of their physical and mental health, and how these have changed during the pandemic.  It also highlights implications for governments and employers as they begin to prepare for the post pandemic recovery.

The report finds that, between April 2019 and December 2020, Canadians’ perceptions of their physical health and especially their mental health deteriorated. In the case of mental health, the change has been especially dramatic among those age 65 and older. But while the decline in perceptions of mental health have been greater among seniors than among younger adults, it remains the case that younger Canadians, especially younger women, continue to rate their mental health more poorly than others.

The situation of younger women is most concerning. Among those between the ages of 18 and 29, one in two (51%) women, compared to 27 percent of men, say their mental health is fair or poor; among students, the proportions are 52 percent and 32 percent for women and men, respectively.

The findings suggest that Canadians are not all equally well-positioned to bounce back once the pandemic has passed. Preparations for an economic recovery should entail intentionally addressing the poorer health of those whom the pandemic has impacted the most. It falls to governments and employers to put in place policies that can ensure that the economic recovery is one that does not leave behind those Canadians facing health challenges.

Key Takeaways

  1. Between April 2019 and December 2020, the proportion of Canadians rating their mental health as excellent or very good fell by 15 points, from 53 percent to 38 percent. The proportion saying their mental health is fair or poor increased 10 points over the same period, from 21 to 31 percent.
  2. There has been no change in perceptions of mental health in the case of younger Canadians (age 18 to 29); a significant change for those between the ages of 30 and 64; and a dramatic drop among those age 65 and older (especially among women in this age group). In April 2019, 73 percent of women age 65 and older said their mental health was excellent or good, by December 2020 the proportion had fallen to 40 percent.
  3. There has been a decline since April 2019 in perceptions of mental health among all major racial identity groups and among those identifying as Indigenous. However, this decline is somewhat larger among those identifying as Chinese.

Corps et âme : L’impact de la pandémie sur la santé physique et mentale

Le rapport se concentre sur la perception des Canadiens et des Canadiennes à l’égard de leur santé physique et mentale ainsi que les façons dont celle-ci a changé durant la crise sanitaire. Il met également en lumière ce que ce constat implique pour les gouvernements et les employeurs, alors que ceux-ci se préparent à la relance postpandémique.

Selon le rapport, entre avril 2019 et décembre 2020, la perception des Canadiens et des Canadiennes sur leur santé physique, et particulièrement sur leur santé mentale, s’est détériorée. En ce qui a trait à la santé mentale, le changement a été particulièrement marqué chez les 65 ans et plus. Si le déclin dans la perception de la santé mentale s’est fait davantage sentir chez les personnes âgées que chez les adultes plus jeunes, il n’en demeure pas moins que les jeunes Canadiens et Canadiennes, en particulier les jeunes femmes, continuent d’évaluer leur santé mentale comme étant moins bonne que celle de la population en général.

La situation des jeunes femmes est la plus préoccupante. Parmi les 18 à 29 ans, une femme sur deux (51 %), comparativement à 27 % des hommes, a déclaré que sa santé mentale était passable ou mauvaise; parmi les étudiants, cette proportion grimpe respectivement à 52 % pour les femmes et à 32 % pour les hommes.

Les constats suggèrent que les Canadiens et les Canadiennes ne sont pas tous en aussi bonne posture pour rebondir une fois que la pandémie aura pris fin. La préparation de la relance économique devrait inclure des mesures précises pour soutenir la santé affaiblie des personnes les plus durement touchées par la pandémie. Il incombe aux gouvernements et aux employeurs d’instaurer des politiques pour éviter à tout prix que les Canadiens et les Canadiennes aux prises avec des problèmes de santé ne deviennent les laissés pour compte de la reprise économique.

Points Clés

  1. Entre avril 2019 et décembre 2020, la proportion des Canadiens et Canadiennes qui avaient indiqué que leur santé mentale était excellente ou très bonne a diminué de 15 points, passant de 53 % à 38 %. La proportion de personnes ayant affirmé que leur santé mentale était passable ou mauvaise a augmenté de 10 points pendant la même période, passant de 21 % à 31 %.
  2. La perception des jeunes Canadiens et Canadiennes (de 18 à 29 ans) à l’égard de leur santé mentale n’a pas changé, tandis que celle des 30 à 64 ans a changé de façon significative, et celle des personnes de 65 ans et plus a connu une baisse prononcée (tout particulièrement chez les femmes appartenant à ce groupe d’âge). En avril 2019, 73 % des femmes de 65 ans et plus avaient affirmé que leur santé mentale était excellente ou bonne; cette proportion avait chuté à 40 % en décembre 2020.
  3. Il y a eu un déclin depuis avril 2019 dans la perception de la santé mentale parmi tous les principaux groupes d’identité raciale ainsi que chez les répondants s’étant identifiés comme Autochtones. Ce déclin est toutefois plus prononcé chez les répondants s’étant identifiés comme Chinois.

Published:

June 2021

Survey on Employment and Skills

The Survey on Employment and Skills (opens in new window) , conducted by the Environics Institute for Survey Research (external link)  in collaboration with the Diversity Institute and the Future Skills Centre (external link) , was designed to explore Canadians’ experiences with the changing nature of work, including technology-driven disruptions, increasing insecurity and shifting skills requirements. 

The second wave of the Survey on Employment and Skills was conducted in late 2020, as the pandemic’s second wave gathered momentum in Canada and the number of new COVID-19 cases steadily increased. The expanded survey explores how different types of workers have been affected by the pandemic, in terms of such things as their hours of work, earnings, location of work, and ability to combine work and family responsibilities.

Le Sondage sur l’emploi et les compétences (opens in new window) , mené par l’Environics Institute for Survey Research (external link)  en partenariat avec le Diversity Institute et le Centre des Compétences futures (external link) , a été conçu pour explorer l’expérience des Canadiens et des Canadiennes quant à la nature changeante du travail, attribuable notamment à l’adaptation aux nouvelles technologies, à une insécurité de travail grandissante et à l’évolution des exigences en matière de compétences. 

La deuxième phase du Sondage sur l’emploi et les compétences s’est déroulée à la fin de 2020, alors que la deuxième vague de la pandémie prenait de l’ampleur au Canada et que le nombre de nouveaux cas de COVID-19 augmentait de façon constante. Le sondage élargi explore également l’impact de la pandémie sur différents types de travailleurs, notamment pour ce qui touche leurs heures et leur lieu de travail, leurs revenus et leur capacité de concilier travail et responsabilités familiales.